MUSIQUE DE LA LEGION
SOUS LE SOLEIL BRULANT D’AFRIQUE
LA COLONNE
Nouvelles chansons plus bas
PAROLES ECRITES
In dem schönen Westerwald
1. Heute wollen wir marschieren
Einen neuen Marsch probieren
|: In dem schönen Westerwald
Ja da pfeift der Wind so kalt. :|
Refrain:
Oh du schöner Westerwald
Über deine Höhen pfeift der Wind so kalt
Jedoch der kleinste Sonnenschein
Dringt tief in’s Herz hinein.
2. Und die Gretel und der Hans
Geh’n des Sonntags gern zum Tanz
|: Weil das Tanzen Freude macht
Und das Herz im Leibe lacht. :|
Refrain:
3. Ist das Tanzen dann vorbei
Gibt’s gewöhnlich Keilerei
|: Und dem Bursch’ den das nicht freut
Man sagt der hat kein Schneid. :|
Refrain:
Arc de triomphe
1831 -
Passée présent avenir
le sang de nos héros coulera toujours repandu sur la terre entiere laissant leur actes couler dans nos veine ou ils sont et seront mémoire de nos coeurs ardent.
Jour ou nuit.
Leg. yves
Pour faire un vrai Légionnaire
Refrain
Pour faire un vrai légionnaire,
il ne suffit pas de boire un coup,
ça tout le monde sait le faire,
faut être aussi premier partout.
* Chacun sait bien qu'un légionnaire
est le premier dans les combats,
que sa bravoure est légendaire
et qu'au baroud il n'en craint pas,
or parmi ceux qui lui font fête,
c'est le bistrot qui l'aime le mieux,
mais seulement pour sa galette
et pazs du tout pour ses beaux yeux.
* Faut être premier dans les revues,
les prises d'armes, les défilés,
il faut en mettre plein la vue
aux généraux les plus calés,
il ne faut pas que la Marsouille,
les tirailleurs ou les Zouzous,
nous fassent passer pour des nouilles
en se montrant meilleurs que nous.
* Quand nous allons voir les gonzesses,
laissons tomber les Fatimas
et ne prenons que les caresses
d'Anne-
car ces femmes savent y faire,
on ne peut pas leur faire le coup,
ce sont des femmes de Légionnaires,
elles veulent qu'on soit premier partout.
Non, je ne regrette rien
Avec mes souvenirs
J’ai allumé le feu.
Mes chagrins, mes désirs
Je n’ai plus besoin d’eux.
Balayés les amours
Avec leurs trémolos.
Balayés pour toujours
Je repars à zéro.
* Non, rien de rien
non, je ne regrette rien.
Ni le bien qu’on m’a fait ni le mal,
Tout ca m’est bien égal.
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien.
C’est payé,
Balayé,
Oublié,
Je me fous du passé.
* Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien.
Ni le bien qu’on m’a fait ni le mal,
Tout ca m’est bien égal.
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien.
Car ma vie,
Car mes joies,
Aujourd’hui,
Ca commence avec toi.
Légionnaire de l'Afrique
En avant, légionnaire de l'afrique,
dédaigneux de la pluie et du vent,
batailleur et pourtant pacifique,
en avant, légionnaire, en avant,
en avant, en avant.
* Le sac au dos, la gourde bien remplie,
le grand képi rabattusur les yeux,
nous martelons le sol de l'Algérie,
ou sont tombés tous nos communs aieux.
* Quand nos chansons font tressaillir l'espace,
chacun se dit, tous ces joyeux garçons,
c'est l'avenir, la fleur de notre race,
c'est le froment de nos futures moissons.
* Par les sentiers escaladant les pentes,
le coeur joyeux ou lève une chanson,
nous combattons l'âme toujours vaillante,
par le renom de notre vieille Légion.
* Ceux qui sont morts, guidant nos randonnées,
de les venger nous avons fait serment,
et nous ferons que notre renomée,
restera ce qu'elle fut de tout temps.
Lili Marleen
* Près de la caserne quand le jour s’enfuit
La vieille lanterne soudain s’allume et luit
C’est dans ce coin là que le soir
On s’attendait remplis d’espoir
Tous deux Lili Marleen. (bis)
* Et dans la nuit sombre nos corps enlacés
Ne faisaient qu’une ombre lorsque je t’embrassais
Nous échangions ingénument
Joue contre joue bien des serments
Tous deux Lili Marleen (bis)
* Le temps passe vite lorsqu’on est deux
Il faut qu’on se quitte voici le couvre-
Te souviens tu de nos regrets
Lorsqu’il fallait nous séparer
Dis-
* Cette tendre histoire de nos chers vingt ans
Chante en nos mémoires malgré les jours, les ans
Il me semble entendre la voix
Et je te serre dans mes bras.
Lili Lili Marleen. (bis)
Edith Piaf marraine de la Légion, décédé le 10 octobre 1963 (chanteuse Française)
Le mois prochain il en aurra d’autres...
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