La vraie origine de la Légion. suite ....
Le projet de loi du 21 mars 1832, concernant le recrutement, l’ article 2 atteste
que « nul ne sera admis dans les forces française s’il n’est pas français » la il
est flagrant que les législateurs ignoraient l’existence de la Légion étrangère un
an après sa création, absurde non ? Il y à pourtant une institution en France accepter
par tous et qui existe depuis 1789 qui est plutôt une tradition, ces celles d’offrir
l’asile aux réfugiés étrangers qui fuient les persécutions en tout genre dans leur
pays et c’est grâce malgré tout à Louis-
Le 26 février 1831, le ministère de la guerre décrète ou plutôt ordonne la création d’un dépôt dans la Haute Marle à Langre exactement, afin d’accueillir tout réfugiés mais aussi déserteurs étrangers, étrange Légion qui hais, méprise les déserteurs en ses rangs, mais qui accepte ceux venant d’ailleurs, et de plus ne déserterons jamais la Légion, lui restant fidèle. Encore absurde le non vouloir de l’engagement des ouvriers étrangers installés dans le pays ou encore des anciens du régiment Hohenlohe. Le général commandant la 18e Division militaire écrit, « Je ne pense pas que la création de ce dépôt, ait pour but un recrutement de cette nature » ne cherchons pas les raisons des défaites militaires française de l’ époque due à une bande d’abrutis civils et militaires, l’évidence est devant nous par ces écrits. Le gouvernement délire par ses propos telles que « n’est à l’évidence qu’un expédiant, une formation destinée à canaliser vers l’Algérie, des étrangers indésirables, tout est absurde il en sera de meme de la façon dont la France ce débarrassera de la Légion sans cocardes et sans drapeaux en Espagne en 1835. Pourtant face à l’absurde des hommes y croient en cette Légion, le colonel Bernelle ne la quittera pas acceptant cette mission.
En 1834 le Général Voirol écrit au Maréchal Soult ministre de la guerre, en lui demandant de porter le service en vue de l’amélioré a faire un service de cinq ans au lieu de 3, ce sera accepter, Soult ancien officier de l’empereur n’est pas un imbécile, il connaît l’armée, cet armée à besoin de cadre solide et des soldats expérimentés. Ma gré les absurdités que nous avons vue ensembles la Légion est née le 10 mars 1831, point à la ligne.
En fait Soult réagit rapidement dans l’autre sens on ce rend compte qu’il est devenu une de ces girouette politique car il déclare « l’ efficacité de la Légion, lui importe peu : et que comme la Légion étrangère à été formée dans le seul but d’ouvrir un débouché et de donner une destination aux étrangers qui affluaient en France et qui pouvaient y être un sujet de perturbation, il y à pas lieu d’accueillir votre proposition » écrit il le 14 février 1*31 au sujet de ce « H » et d’octroyer un numéro de régiment de Ligne. Soult continue dans ces termes « Le gouvernement ne cherche point à faire des recrues pour cette Légion ; ce corps est tout simplement un asile pour le malheur » faut oser le dire non ! en fait le « Hoenlohe » paye les pots cassés par les Suisses.
A vrais dire aussi le précédent du service étranger en France rendait banale, voir surannée, la création d’un régiment étranger surtoutt à une époque ou l’état prônait pour une armée à régiments réguliers nationaux. La Légion n’est autre donc qu’une fille illégitime de la France, mais surtout de cette révolution de juillet 1830, bien que reconnue ce trouve plus que génante et dont le petit droit est de mourir sans le respect, la reconnaissance de son pays adoptif ou pourtant cette Légion va défendre malgré tout les vastes colonies d’un pays ingrat envers elle. Le nom de Légion ira même jusqu'à évoquer une unité inhabituel, une réputation non acquise de déloyauté, a telle point qu’une antithèse du citoyen et du compatriote va ce créer pour longtemps.
Durant les premières décennies d’existence la Légion à très peut d’amis ; quelques groupements ou personnalités vont bien oser en parler par exemple des penseurs sociaux qui défendent déjà les sans abris avec très peut de succès d’ailleurs, alors imaginés les peut d’intérêts qu’on lui porte. L’état français ira même dans son indulgence traité la Légion de « décharge public » pour les indésirables, un havre pour les sans ressources, ce qui de plus est renforcé par un isolement renforcés par un isolement géographique, à la différence de l’état le peuple ignore ce qui ce passe dans ses empires coloniaux. Le haut commandement n’a que mépris pour des gens pareils, très, très peut d’officiers supérieures vont la comprendre cette Légion contrairement aux autres ils vont lui faire confiance. Ce dépotoir d’asociaux destines à justes à être sacrifiés, voir plus fort à être gaspillée, ont en veut nulles par et l’on trouve même exagérée de l’entretenir, ces fonds seraient plus utiles à l’armée national, cet antis Légion durera sous l’empire aussi, n’accusons pas seulement les ministres et officiers supérieures de la monarchie. Longtemps ont n’as cru et moi de même que la création de la Légion fut simple, crée d’un coup de plume, c’est hélas faux, sait plus complexes comme vous pouvez le constatez, les archives souvent ignorée car beaucoup ce voyaient en fautes de leurs critiques acerbes d’ignorants patentés, personnes n’osaient en parler, le peut de livres écrits étaient ignorés voir invendables, il fallut attendre l’après grande guerre et le 1er défilé sur les champs Elysés de 1920 pour voir et encore le hasard du passage du 2er Régiment Etranger pour voir qui étaient ces fameux étrangers. Pourtant la France à trouvée en cette solution vis à vis de ses étrangers une solution qui lui sera profitable et dont plus tard elle sera fier à en frissez l’orgueil d’avoir la plus belle armée au monde. Pour l’heure en 1831, le commandant de la 5 e division militaire rend compte dans un rapport du 5 mars que « le nombre de déserteurs des autres armées arrivent en nombres à Strasbourg est en forte augmentation. Rapidement le camp d’accueil de Langre est saturé tout les arrivants sont de plus démunis de tout. Obligé devant ces fait le gouvernement ouvre à Bar le duc un deuxième camps il ce situe à deux cent kilomètres à l’est de Paris, le préfet de l’endroit émet des protestations, en vain. D’autres dépôt suivent Auxerre pour les italiens, dans le sud ouest Agen pour les espagnols.
Tout semble s’organisé à merveille, ces recrutements non sollicités donne de fructueux
dividende : en juillet une garnison de 1164 « Légionnaires » est installée à Bar-
moyens possibles de rentrer en France. Plusieurs ont des antécédents fâcheux et ceux des officiers qui se respectent sont blessés d’avoir de pareils camarades » aimés nôtre Légion non ?
En réalités ses premiers officiers de Légion est un curieux mélange de demi-
Comme chacun sait la colonne vert vertébral de toutes les armées sont les sous officiers,
et cela la Légion manque cruellement. Le gouvernement à bien recruté dans les sous
officiers retraités, bien peut ont acceptez et ceux qui l’ont fait sait pour arrondire
les fins de moi, déjà bien maigre. Résultat il ce rebat sur les étudiants allemand
réfugiés qui sont bilingues, mais sans aucunes expériences militaires, sait vous
dire que la saga Légion continue, mais à l’actif de ces problèmes le laxisme du gouvernement
y est pour quelques chose. En engageant des étudiants une classe social différente
apparaît avec les anciens déjà engagés en attentent toujours d’affectations dans
les dépôts d’engagements les mêmes dilemmes de classe différentes. Ces derniers les
étudiants bien sur avaient déjà manifestés des tendances égalitaires, pour ne pas
dire prolétariennes, une tendance qui allaient donner le ton dans les casernes. Le
commandant Clavet Gaubert écrit le 11 juillet 1831 « toujours cette année maudite
» qui déclare par lettre au ministre de la guerre, que ces étudiants « montrèrent
des prétentions exagérées, mais il devint impossible à les accoutumer à vivre en
commun avec des déserteurs et dont la pluparts étaient enclins au vol et à la débauche
» l’idée de Clavet Gaubert n’est pas mauvaise beaucoup plus tard elle sera reprise,
comme vous le constatez cela tâtonnes mais s’imprègnes d’idées. Gauthiers crée deux
compagnies séparées « ce que l’ont appels maintenant les pelotons cadres » avec les
étudiants. « lorsque reprend Gaubert, plus tard on à procédé à l’élection des sous
officiers, plusieurs refusent l’avancement mérité pour ne pas quitter leurs camarades
» Leur véritables motivations deviennent très vite : ils espèrent êtres désignés
pour les deux compagnies d’élite de grenadiers et de voltigeurs prévues dans chaque
bataillons de ligne, car non autorisé pour la Légion mais qui finira par l’ être
en avril 1832. « Une fois même toujours Gaubert qui parle, nous avons sur les bonnets
de police de quelques-
Bar-
Quand je vous dit que la création de notre Légion n’a pas été aussi simple qu’on
la tous crûs ! La comptabilité laisse à désiré, le Sergent major est seul dans un
petit enclos lui servant de bureau , essayant d’équilibré son budget, cessant les
payements de ceux en prison, voir à l’hôpital, imputant les équipements, abîmés,
disparus, la nourriture quotidienne, les réserves etc.. Quand il à terminer ses comptes
alors commence la distributions de l’argent aux lieutenant et caporaux, responsables
de l’achat de la nourriture pour leurs hommes, suit la répartition des sommes restantes.
Sait qu’il faut penser que la tentation de détournement est présente et deviennes
réels pour certains de ces gradés, mais il n’y à pas que les malhonnêtes, il y à
aussi de l’incompétence dans les achats et distributions. En août Stoffel ce plaint
d’avoir du être dans l’obligation de retirer toutes responsabilités à deux sous lieutenant
qui c’était permis de dépensé la solde de leurs hommes, il continue contre les sergents
majors et fourriers même sanction , ces dernier incompétents dans cette fonction
ne comprennent et ne parle pas le français de ce fait une confusion règne continuellement
dans les camps. Les équipements sont mal répartis quelles qu’ils soit les registres
étant mal gérer. Les soldes crées un mauvais climat du fait non exactes voire inexistantes,
pour obtenir une paye ces hommes vendent tous ce qu’ils peuvent, matériels, vêtements,
chaussures n’ayant rien à faire de la journée l’oisiveté si mêlant ont les retrouves
dans tous les débits de boisson de la ville. Devant ces faits le gouvernement réagit
fermement il bloque toutes les soldes afin de ce remboursé de tout ses détournements
ce qui ne va pas arranger le climat, cela ira jusqu'à la prison pour certains et
cela pour un temps déterminé et sellons les bons vouloirs des autorités. Le préfet
relève par cachot cinquante six Légionnaires et pour certains d’entre eux sont la
depuis longtemps car purement et simplement oublier par le sergent major, qui de
ce fait ne verse plus l’argent aux services chargés de les nourrir qui de plus n’en
est pas militairement responsables puisque civils. Vers la mi-
En 1832, sait la Création un an après la Légion, des Zouaves et des chasseurs d’Afrique bien que sait trois unités deviendrons des élites, le bordel partout dans leurs créations, les mêmes problèmes subsistes, organisations, manque de discipline. Cet en novembre 1831 que sont crées les chasseurs d’Afrique, en 1834 deux rebellions sont écrasées et des soldats fusillés, 6 officiers cassés en cour martial. Les Zouaves aurons aussi des déboires chaotiques mais tout rentrera dans l’ordre, les Zouaves servirons d’exemples aux américains pour crées des régiments de même type surtout dans les armées nordistes. La Légion quant à elle causse toujours soucis aux autorités. Janvier 1832 arrive un nouveau commandant en chef en Algérie et oui la Légion y est déjà, Savary duc de Ravigo est un ancien ministre de la police sous Napoléon, sa tactique afin d’éviter ivrogneries et rebellions disperse en petites unités dans la ville de Mustapha, la Légion. L’inspecteur général en 1834, déplore l’état lamentable de certains Légionnaires engager à la hâte des handicapés par des maires désireux de ce débarrassés au plus vite de toutes étrangers, ce sont des faits pareils qui engendres des malaises et des désordres pareils vu plus haut. L’engagement des ces étrangers dérangeant reste cependant reste l’argument vital pour ne pas voir disparaître cette Légion, et les idées vont bon train, naïve ou pas mais elle deviennent lentement des idées qui deviendrons importantes dans l’avenir, mais pour l’instant ! En 1836 par exemple le Colonel Bernelle qui est le 3e commandant que la Légion reçoit mais qui est considéré comme le premier car sait grâce à lui que toute la Légion va changer en tout point de vue. En 1836 le colonel Bernelle désire crée une cavalerie Légion, et l’écrit en ces termes à ses supérieures « en unissant sous une discipline stricte et pour le service actif, des hommes que la France paie déjà à ne rien faire » il pense aux polonais déjà réputés comme très réputés comme excellents cavaliers, et à réputation discipliné. Mais la question est ces hommes sont ils si mauvais qu’ont le prétend, le fond le laisse croire mais il y à aussi une forte volonté de la part du gouvernement de laisser pour compte ces ignobles individus, provoquant ainsi le cahot parmi la troupe. Voyons ce qui ce passe encore en 1831, car il faut sans cessent jouer au yoyo avec les années tellement sait complexes, plusieurs bataillons sont déjà existants ils regroupent par nationalité les Légionnaires, Suisses, Allemands, Italiens, Espagnols et Polonais, en 1833 viennent Belges et Hollandais ensembles dans le 6 e battaillon, les autres parfois selon le besoin d’effectif dans un bataillon un peu de mélange d’une autre nationalité ce faisait mais rarement.
Des allemands déserteurs qui transitaient par la Belgique était parfois pris pour des Belges, Hollandais voir Suisses et ce retrouvaient dans ces bataillons c’était encore confus à l’époque. Les Belges étaient en général jeunes et cherchaient l’aventure africaines. Un recensement et avis d’un inspecteur à Mustapha le 1er décembre 1832, signalent par écrits qu’a son avis que les « 87 Français se sont engagés pour avoir une promotion rapide, que les 94 Suisses ont pleins de zèles ( la plupart viennent des régiments Suisses des Bourbons ), tandis que les 571 Italiens sont paresseux et « jaloux ». Les 98 Belges et Hollandais, les 19 Danois et Suédois ont droit à des appréciations élogieuses, ainsi que les 85 Polonais notés comme « bons et braves soldats ». Les 10 Anglais sont « peu connus ». Cependant, les 2.198 Allemands « déjà nombreux ! » donnent matière à réflexion : « Beaucoup sont, des déserteurs ou des réfugiés politiques, des étudiants en médecine, des avocats ou des notaires à l’imagination inquiétante. Ils doivent être continuellement surveillés. » Les temps changent loin ces dix huit mois en arrière cette époque ou sait étudiants ce prétendaient de pouvoir envers et contre tout crées des compagnies d’élites !
Qu’est il arrivé ? Un grand rôle a du ce jouer pour en arriver la, la déception de la révolution de 1930 ou les « trois glorieuses r n’avaient pas donner les souhaits attendus, notamment la grande révolution européenne. Beaucoup c’ étaient engagés mus par une ferveur révolutionnaires ces derniers n’étant pas satisfait non plus de n’avoir pas libérer l’Europe, se voyaient mal de se retrouvés des exilés de chez eux ce retrouver à présent exilés de France en Afrique encore une fois considérés comme des indésirables, c’était certainement provocation de ces cahots ayant existés dans les premières années de l’existence de la Légion ! Mais l’avancement pénible qu’elle connaît lui sera bénéfique plus tard ! Un autre aspect de cette avancement est aussi la forte volonté de s’en sortir, les Polonais par exemple ont pour seul ennemis la sainte Russie qu’ils haieses, la plupart sont des anciens de la révolte de 1830 contre St Perersbourg, révolte militaire d’ailleurs ou ces Polonais devaient appartenir à une armée, cela ce voyant à leur manière d’être des soldats, ces derniers possédaient une excellente réputation auprès de la population d’Alger. Enfin une métamorphose commence !
La légion manifeste à l’époque une net désapprobation sévère pour les intellectuels, préférant des personnes moins doués pour la critique, ce qui pour elle amènes divers problèmes vu si haut notamment. Il n’est donc pas fautes de ses Légionnaires, mais bien des officiers quelques soit son grade que tout est bordel, sait la venue d’officiers plus motivés et ayant un esprit plus proche de la troupe que cela va changer, mais voyons les antécédents de ces années de gloire à venir !
Bien sur la troupe possède une centaines de mauvais soldats, Savary le signale dans
ses rapports, écrivant de même qu’il fallait exercer une étroite surveillance voir
à les verser dans la régulière afin de mieux les contrôlés, hors la Légion sert justement
à cela, nous sommes en route vers la création des régiments disciplinaires. La Légion
à reçu son premier drapeau, ordonné par le décret du 9 novembre 1831, mais ce fait
non plus n’avait motivé ces hommes sans expériences et mal commandés, mais les faits
positifs vont ce précises à petites allures, en effet la Légion est portée a sept
bataillons et ce retrouvent dispersés dans des endroits parfois les plus malsains
et oublier de dieu, la solidarité va naître, mais avant cela les missions inutiles
voire futiles ne font pas le bon moral. Savary, revient encore une fois sur les officiers
« un chef, qui sait comment manier ces hommes peut bientôt créer un esprit de corps
» Tout comme ce brave Stoffel, Savary travaille à leurs façons dans le bon sens de
par le fait de leurs critiques et observations, sait dernières sont souvent judicieuses
et positives pour les Légionnaires, déclarant « que leurs bons vouloirs pourrait
être motivés par un bon encadrements qui manques, avec des officiers compétents,
et s’intéresses à eux un amour propre de ces hommes ferait effet positif , ces officiers,
devraient leurs attentionné du temps, plus de justice, plus de discipline, s’identifiés
à eux, de même pour les sous officiers. Savary relève aussi que nulles corps d’armée
de l’armée régulière n’a besoin d’autant de discipline que justement cette Légion
! Un cadre de discipline façon Anglaise, Allemande, serait impératif et justiciables.
Le recrutement reste pourtant encore difficile, la dissolution des des régiments
de la garde royale en 1830, emmène une pénurie d’officiers en effet les troupes d’élites
en avaient besoin en Algérie, mais le besoin de ces troupes dans les colonies vont
devenir profitable à la Légion. Et voilà qu’arrivent un défenseur des troupes légères,
prend le commandement de la Légion étrangère, il à pour nom et grade, Colonel Michel
Combe, cet officier à contribué à la création des chasseurs à pieds. Il sait aussi
que des officiers étrangers cherchent à s’engager, tout comme c’est 277 polonais
de 1834 réfugiés à Londres. La Légion compte maintenant quelques officier compétents,
mais d’inégales valeurs. Le général Voirol se plaignait en 1833 que des officiers
Français dans la Légion employaient souvent des sarcasmes ou « des expressions dédaigneuses
ou injurieuses » qui poussaient les Légionnaires à « la résistance et à l’insubordination
». Il est pénible que les étudiants allemands en étaient particulièrement offensés
et qu’ils le montraient . L’attitude négative ce trop d’officiers était dévastatrice
pour le moral. Le 1er janvier 1834, Voirol constate que nulle fierté n’existe au
régiment, que l’alcoolisme y règne, de plus après les trois années de contrat personnes
ne ce rengageaient ». Mais le mauvais moral ne sait pas étendu seulement à la Légion,
sait tout le corps expéditionnaire que cela sait étendu, l’affaire du dey d’Alger
qui souffle avec un chasse mouche le consul de France, provoque des troubles à Paris,
la mauvaise volonté de certains, officiers désirant rentrer en Métropole, sont pas
pour aidez la troupe, la situation en arrive à un manque de sécurité, aussi Savary
fait construirent des Blockhaus sur les principaux axes d’approche d’Alger pour donner
de l’air à la ville, ces mesures posaient aussi des problèmes aux petits postes le
service y étaient pénibles, aux pire était fatal en tout genres. Dans ce capharnaüm
il faut reconnaître le comportement honorable des Légionnaires, dans leurs premiers
combats. Le premier combat à lieu le 7 avril 1832, ou deux compagnies. Le 23 mai
de la même année, vingt sept Légionnaires et vingt cinq Chasseurs d’Afrique que commande
le Commandant Salomon de Musis sont attaqués près de Maison-
Wagner lui réussi plus tard à s’évader, erra une dizaine de jours seul dans le désert,
pour enfin repris par la Légion à Maison-
Le pire ennemi que la Légion eu à subir, ne fut pas l’indifférence, le mépris, mais
un ennemi plus sournois encore le moustique femelle entraînant la malaria et la mort
à la pelle, aussi d’autres maladies graves et incompétences médicales, pourtant c’est
l’ennemi qui contribua le plus à montré la valeur de ce que beaucoup voulaient ignorés,
la Légion allaient en sortir grandie de ses combats de cette guerre sans pitié cette
guerre fut appeler celle des « fièvres » à l’époque la science n’avait aucuns remèdes
et ne connaissait pas s mots « typhoïde » pneumonie et malaria, cette guerre fut
la première grande épreuve avant de connaître l’ultime affront l’Espagne, mais quoi
qu’il arriva la Légion marche définitivement vers l’avenir qu’on lui connaît actuellement
des officiers vont sortir du lot et l’y aider sincèrement, ce sera le début de la
complicité gradés, Légionnaires qui ne ce démentira plus jamais mais pour l’instant
revenons à nos moustiques femelles « toujours une histoire piquante de femme à la
Léfion, hi, hi » . Entre 1831/35 l’Algérie connu un véritable fléau de choléra, entre
ces même années la Légion perdit le quart de ses effectifs soit 3.200 hommes, morts
ou réformés ! Rien qu’en 1833, les pertes s’évaluent a 1.600 sur 2.600 uniquement
pour la garnison d’Alger, il faut tenir compte que ce que l’on appelait « hôpitaux
» n’étaient que de vieux abris ou l’on entassaient plus que l’on savaient soignés,
véritable anti-
Savary, n’a rien pour sa défense à ce sujet, les officiers supérieures étais comme
lui, ce qui déteignait sur les officiers subalternes de l’époque des premières années
de l’occupation de l’Algérie. Tr ès peu d’officiers ne semblait vouloir s’occuper
allant même à ignorés la vie déplorable dans les quelles vivait les Légionnaires,
alors ignorés de dieu et de ses sbires sur terre le Légionnaire boit, et gardera
longtemps la réputation « de boire plus que de ce battre » mais disons le aussi la
vie n’est pas tellement meilleurs pour les troupes du corps expéditionnaire, mais
la Légion est au dessus du panier de crabes quand il s’agit d’oublier quelque chose
! Eb 1840, un officier miracle arrivent il bouscule tout, nettoie l’administration
de sa malhonnêteté, il va secouer les militaires de leur indolence, virer les gradés
fainéants, il va surtout donner un humanisme à cette armée d’Afrique, cet officier
énergique à pour nom « Bugeaud » il est le contraire de l’incompétent Savary, qui
rendait ses soldats responsable du taux élevé de la mortalité dans la Légion, ce
qui en réalité est vrais, Savary rejette sa faute sur les autres comme ses prédécesseurs
alors comment ne pas comprendre un certain je m’en foutument des Légionnaires, Savary
va même si l’on pourrait le dire à laver sa conscience à faire la guerre à tout ce
qui concerne l’alcool, comme si cela était la première plaie, l’alcool serait aussi
un chancre économique en Algérie pour Savary ! La réalité est toute autre on parle
toujours des camps d’exterminations nazi « je suis contre bien entendu mais c’est
juste une explication sans différence de faux jetons qui préfères ignorés leur réalités
», mais avant cela l’Angleterre les avaient inventés pour les esclaves travaillant
dans les mines de diamants de sa très gracieuse majesté la Reine Victoria. Et bien
la France de l’époque sournoisement et dans l’indifférence la plus absolue laissait
mourir à petit feu c’est étrangers indésirables en France. Ils étaient envoyés systématiquement
aux endroits les plus exposés aux maladies, ce que l’on appelerait acctuelement camps
d’extermination l’était pour la Légion à l’époque tout simplement et la France la
longtemps caché et c’est douleurs injustes du passés la Légion ne la jamais oublier
en son sein, mais la depuis longtemps pardonné, mais c’est soufrances l’on marquée
à telle point que l’Algérie est devenue sa seconde patrie ils le montrerons une dernière
fois en 1962 ! En 1832 130 ans plus tôt ils pourrissaient dans les marais de la mitidja,
dans les tours de gardes interminables de la Maison Carré, pas un endroits insalubres
ne leur était épargnés, en trois jours maximum la maliria les avaient atteints ils
tombaient en suite comme des mouches, en1834 par exemple à Maison carré pas moins
de quarante Légionnaires sont envoyés à « l’hôpital. Personnes ne contestes que c’est
missions d’assainissements des marais et des constructions des routes doivent ce
faire, mais la question est et reste pourquoi si souvent la Légion ? Savary encore
une fois pour ce justifié déclarent « que la Légion et ses deux commandants de bataillons
ce sont portés volontaires, c’est derniers étaient passionnés par les iniatives spontanées
de la manière d’utilisés les Légionnaires qui s’y accommodaient très bien pour le
bien du service et bien entendu comme colons. Bugeaud à la différence de son prédécesseur
Berthezène est un officier dont les convictions sont inébranlables d’une colonisation
militaire de l’algérie. Sa raison est de est aussi un moyen de liquider les partisans
qui veulent déjà la fin de l’empire français en Afrique du nord. Pour cela Bugeaud
à besoin d’une excellente armée, la Légion va enfin pouvoir existée a sa juste valeur.
Avec l’arrivée de Bugeaud c’est toutes d’Algérie qui doit, ce dernier trouvant les
officiers de Légion trop enclin à ce servir de la Légion à titre de bien ce faire
voir, ordonne qu’elle ne sera plus seul à subir les taches les plus dur, les taches
publics pour tous déclare t’il ! Une situation nouvelle ce dessine. En 1835 un bataillon
de la Légion ce retrouve dispensé de travaux car trop de malades, ce qui ne plut
pas aux Légionnaires qui prennent cette ordre pour une insulte à leurs capacités
de travaille. Il faut aussi laisser à charge que certains officiers de Légion ont
essayer d’évitez les endroits pestilentiels du moins éviter les effets nuisibles
considérables. Un exemple avec le 6e bataillon ( Belgo-
s’enfuies à la rencontres du détachement ; ils savent très bien ce qui les attendent s’ils sont repris
De plus Muller à de quoi avoir peur il à jeter un arabe à terre et c’est à lui la mule sur le quelle il est dessus, vol et coups c’est la torture et la mort assurée. Leur chance raconte t’il c’est qu’ils arrivent à rejoindre la colonne avant les arabes lancer à leur poursuite. L’affrontement laisse une soixantaine de morts chez l’ennemi et deux vrais déserteurs. La colonne rentra avec une prise inattendue en effet la bagarre avait eue lieux aussi près du camp ou il s’emparent de 10.000 franc, rentrez au campement l’argent est distribuer selon les grades. Concernant les désertions les chiffres n’existes pas, mais en 1832 Savary écrit que ceux qui désertent incites leurs camarades à les rejoindre, une des ruses est qu’ils reçoivent des écrits ou il est inscrit « que comme eux, ils recevrons chevaux et femmes ».
Comme on la déjà vu et revus les premières années de la Légion en métropole furent scabreuses et en Algérie quand cela ne ce passait pas à l’hôpital on la retrouvait dans la construction des routes ou des bâtiments, les combats on peu les compter sur les doigts de la main. Jusqu’en 1840 l’armée française utilise contre les arabes des colonnes puissantes mais lente, l’arabe lui est très mobile, une cavalerie frappant et disparaissant aussi tôt, il est à savoir que la tactique des colonnes lourdes n’était efficace que si l’ennemi acceptait une bataille rangée, mais cela ce faisait de moins en moins, entraînant plus tôt les français à traîner sur des kilomètres leur artillerie et charrois dans des bleds arides sans routes et puits le moral de la troupe en prenait aussi un coup ; les colonnes devenait revenir sans avoir atteint d’objectifs et sur le chemin de retour ce faisait harceler, cette guérillas portait généralement ces fruits, les français de plus ne savait pas employer sa puissance de feu, leur supériorité ce retournait contre eux, les arabes touchaient aussi au moral car jamais les français ne savait quand une attaque arriverait, de plus l’effet de surprise limitait les pertes chez les indigènes. Une chose est certaine l’armée française et Légion comprise n’était préparée à la guerre contre les arabes, on en était encore à ce battre en rangs serrés. L’armement n’était pas mieux lotis les fusils étaient de courte portées et obligeait des tirs de salves serrées pour être efficaces mais certainement pas en territoire d’africain. En 1831 Berhezène parle de la médiocrité de l’entraînement de la Légion, en 1833 malgré le peu de combat le général Voirol dit elle « qu’elle ce porte mieux aux combats, qu’a l’instruction ». Ce sont c’est petites phrases écrites et petites choses anodines qui nous échappent si nous le lisons ou ,e l’écrivons pas qui vont créer la Légion, car elles n’échapperons pas à certains officiers de grande valeur lentement les choses ont pris leurs temps mais sûrement, avant 1840 il y aurras l’humiliation de l’Espagne, des cocardes et de partir sans drapeaux.
La mission primordial d’une armée est de combattre ou du moins à être prête à le
faire, la Légion apprendra dans la dignité en Espagne ou après la guerre civil la
reine d’Espagne s’en débarrassera très vite comme une bande d’indésirables gênant,
la paix revenue. Elle retrouvera l’Algérie qui deviendra son deuxième pays d’adoption
repartie à faire ce sont elle est semble destinée à faire des routes En juin 1835
trois compagnies du 4e Bataillon, composé de Polonais et du 5e Bataillon composé
d’Italiens ce trouvant sous le commandement du lieutenant colonel Conrad sont intégré
dans la colonne du général Trézel parue à la poursuite du fameux Abd-
Suite à cette défaite les accusations mutuel vont bon train, même les deux officiers des deux bataillons Légion ce rejette la faute l’un sur l’autre. Et voici ce qui va littéralement les choses pour la Légion. A cette époque c’est le colonel Bernelle qui commande tous les bataillons Légion, il décide de mélangé les nationalités transformant les bataillons. La décision de Bernelle est peut être du au fait de la difficulté de maintenir des bataillons nationaux avec l’incertitude de la nature des engagements. La Légion prend son image définitive aussi par l’obligation de devoir parler obligatoirement le français. La voilà partie vers un destin qui deviendra légendaire
POUSSER